Animés d’une volonté commune de faire rayonner la musique classique dans toute sa diversité, partout en France, la Caisse d’Epargne et Radio classique se sont s’associées pour créer...
Au programme le Concerto pour piano n°1 de Tchaïkovsky et la Symphonie du Nouveau Monde de Dvorak. C’est à l’Opéra de Saint-Etienne qu’aura lieu le prochain Grand Concert Radio Classique Caisse d’Epargne. Un concert qui s’annonce exceptionnel, puisqu’une œuvre y sera créée : Ex Abrupto du compositeur français Franck Villard. Il s’agit à l’origine d’une pièce pour orgue qui a été jouée pour la première fois en janvier 2015 sur l’orgue de Notre-Dame de Paris. Franck Villard l’a ensuite orchestrée. C’est cette version pour orchestre qui sera jouée au cours de ce concert intitulé « Ancien et nouveau monde ». Elle sera interprétée par l’Orchestre Symphonique Saint-Etienne Loire dirigé par Pierre Bleuse. La soirée se poursuivra avec le Concerto pour piano n°1 de Tchaïkovsky, qui sera interprété par la pianiste germano-russe Lilya Zilberstein. Tchaïkovsky voulait dédier ce concerto à Nicolaï Rubinstein. Mais celui-ci a estimé que l’œuvre « ne valait rien » et qu’elle était « injouable ». Il est aujourd’hui l’un des concertos pour les plus populaires du répertoire. Le concert s’achèvera par la Symphonie du Nouveau Monde de Dvorak. Première œuvre de Dvorak composée sur le sol américain, elle a été créée avec succès à New-York en décembre 1893. Chacun des mouvements a été accueilli par des tonnerres d’applaudissements. « J’ai écrit des thèmes à moi, leur donnant des particularités de la musique des Noirs et des Peaux Rouges. Me servant de ces thèmes, comme du sujet, je les ai développés au moyen de toutes les ressources de l’orchestre moderne. » a expliqué Dvorak a propos de cette œuvre dans laquelle se mêlent le nouvel univers sonore du compositeur et la nostalgie de son pays natal. Ce concert, présenté par Jean-Michel Dhuez, sera diffusé en direct sur Radio Classique.
Rendez-vous avec Mozart, pour le prochain Grand Concert Radio Classique–Caisse d’Epargne, mardi à 20 heures, en direct d'Aix-en-Provence. C’est au Grand Théâtre de Provence, à Aix-en-Provence qu’aura lieu le prochain Grand Concert Radio Classique-Caisse d’Epargne, avec l’Orchestre de Chambre de Mannheim dirigé par Paul Meyer. Le programme sera entièrement consacré à Mozart, avec tout d’abord la Symphonie n°51. Composée en 1774 et 1775, il s’agit de l’une des plus courtes symphonies de Mozart. D’une durée d’environ huit minutes, elle est composée de trois mouvements, les deux premiers étant tirés de l’ouverture de l'opéra La Finta Giardineria. Le concert se poursuivra par deux concertos pour piano : le Concerto n°14 et le Concerto n°12, joués par le jeune pianiste Sélim Mazari. Composé en 1784 le Concerto n°14 est selon les propos de Mozart lui-même, un “concerto d’un type tout particulier”. Il marque en effet une nouvelle étape dans l’écriture mozartienne pour ce répertoire. Le Concerto n°12 a été écrit en 1782. À la même période Mozart compose le Concerto n°11 et le Concerto n°13. À propos de ces trois opus Mozart a écrit à son père : “Ils tiennent le juste milieu entre le trop difficile et le trop facile ; ils sont très brillants, agréables à l’oreille, naturels, sans tomber dans la pauvreté.” Le concert se terminera avec la Symphonie n°40, composée en 1788. Ayant marqué l’histoire de la musique par ses idées novatrices, elle est la plus célèbre des symphonies de Mozart. Ce concert sera présenté en direct par Jean-Michel Dhuez.
Le public du Capitole de Toulouse a fait un triomphe à Carmen, vendredi dernier. De larges ovations ont salué les artistes de cette représentation diffusée en direct sur Radio Classique dans le cadre des Grands Concerts Radio Classique Caisse d’Epargne. Marie-Nicole Lemieux chantait Carmen, Jean-François Borras Don José, Alexandre Duhamel Escamillo et Elsa Benoït Micaëla, pour ne citer que les quatre principaux rôles. L’Orchestre national du Capitole, le Chœur et la Maîtrise du Théâtre du Capitole, étaient dirigés par Giuliano Carella. Le metteur en scène Jean-Louis Grinda avait décidé de dérouler le drame dès l’Ouverture : Carmen arrivant sur scène aux bras d’Escamillo, triomphant. Puis, lorsque la musique change de tonalité et évoque la mort, c’est Don José qui fait son entrée tuant Carmen. Commence alors l’Acte I, en présence de Don José qui semble revivre l’histoire de sa passion funeste avec la bohémienne.
Le Grand Concert Radio Classique Caisse d’Epargne donné à Lyon le 20 janvier dernier, a vu le triomphe de Thomas Hampson, l’un des plus grands chanteurs de sa génération. Le baryton américain a interprété les Quatre Chants Sérieux de Brahms, dans une version pour orchestre du compositeur allemand Detlev Glanert, avec l’Orchestre national de Lyon dirigé par son nouveau directeur musical, Nikolaj Szeps-Znaider. Le timbre et la musicalité de Thomas Hampson ont fait merveille dans ces quatre lieder, dont les textes sont extraits de l’Ancien et du Nouveau Testament. Les deux autres œuvres au programme de cette soirée étaient le Prélude de Parsifal de Wagner et la Symphonie n°7 de Dvorak. L’Orchestre national de Lyon en a donné une très belle interprétation, saluée par les chaleureux et enthousiastes applaudissements du public de l’Auditorium de Lyon.
Carmen, à l’affiche du prochain Grand Concert Radio Classique Caisse d’Epargne, en direct du Capitole vendredi à 20 heures Carmen, est très certainement l’opéra le plus connu, le plus populaire et le plus aimé du public. A juste titre, car le dernier opéra de Bizet est un chef d’œuvre absolu. Et pourtant la première, le 3 mars 1875 à l’Opéra-Comique, a été un fiasco. Le public, habitué à des ouvrages dans lesquels la morale et la pudeur étaient respectées, a été profondément choqué par l’histoire de cette bohémienne tuée par un soldat déserteur. Mais, malgré cet échec, l’ouvrage est maintenu à l’affiche. Il y aura 33 représentations jusqu’à la mort de Bizet le 3 juin 1875. Carmen a par ailleurs reçu le soutien de compositeurs comme Camille Saint-Saëns ou Tchaikovsky. Ce dernier avait vu juste en affirmant que « dans dix ans ce chef d’œuvre sera le plus populaire des opéras ». Cette Carmen, que Radio Classique diffusera en direct du Théâtre du Capitole de Toulouse, bénéficie d’une distribution de premier ordre, avec dans le rôle-titre Marie-Nicole Lemieux. À ses côtés, dans le rôle de Don José, Jean-François Borras, ainsi qu’Alexandre Duhamel dans celui d’Escamillo et Elsa Benoît dans celui de Micaëla. L’Orchestre national du Capitole, le Chœur et la Maîtrise du Théâtre du Capitole, seront dirigés par Giuliano Carella. Quant à la mise en scène, elle est signée Jean-Louis Grinda. Une soirée à ne pas manquer, présentée par Jean-Michel Dhuez.
C’est un concert exceptionnel que vous pourrez suivre jeudi 20 janvier en direct de l’Auditorium de Lyon. L’Orchestre National de Lyon qui sera dirigé par son nouveau directeur musical, Nikolaj Szeps-Znaider, accueille l’un des plus grands barytons de sa génération : Thomas Hampson.
Tout au long de sa carrière il a interprété plus de quatre-vingts rôles sur toutes les grandes scènes internationales. Pour ce concert il chantera les Chants Sérieux de Brahms. Il s’agit de quatre lieder écrits à l’origine pour voix et piano à partir de textes bibliques. Ils sont un hommage à Clara Schumann, qui est décédée deux semaines après que Brahms en eut terminé la composition. lls ont été orchestrés au début des années 2000 par le compositeur allemand Detlev Glanert, qui les a reliés par des préludes, formant ainsi une nouvelle œuvre : Quatre préludes et Chants sérieux. C’est elle qui sera au programme de ce concert, qui s’ouvrira par le Prélude de Parsifal, le dernier opéra de Wagner créé en 1882.
Il s’agit selon l’appellation même du compositeur d’un « festival scénique sacré ». Le Prélude reprend les différents motifs de Parsifal, et offre une musique majestueuse et puissante. La dernière œuvre de ce concert sera la Symphonie n°7 de Dvorak. Créée à Londres en 1885, il s’agit d’une symphonie d’une grande gravité, dont la musique s’élève en une puissante progression. Le mouvement lent Poco adagio étant quant à lui particulièrement poignant, tandis que le troisième mouvement prend des allures de valse passionnée. Ce Grand Concert Radio Classique-Caisse d’Epargne sera présenté par Jean-Michel Dhuez.
Il y a de grands moments de musique. Le grand Concert Radio Classique Caisse d’Epargne du 19 novembre dernier au Théâtre des Arts de Rouen en fait partie. A la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie et de l’Orchestre régional de Normandie, le jeune chef britannique Ben Glassberg a su restituer l’atmosphère de bourrasque et de tempête de l’Ouverture du Vaisseau Fantôme de Wagner. Puis la violoniste américaine Tai Murray, a interprété avec une très grande musicalité et beaucoup de virtuosité le Concerto pour violon de Korngold, dans lequel le compositeur a utilisé plusieurs de ses musiques de films composées pour Hollywood. Son interprétation a déclenché l’enthousiasme du public, qui a d’ailleurs applaudi à la fin du premier mouvement. Le concert s’est terminé par le ballet Petrouchka de Stravinsky, dans lequel Ben Glassber a une nouvelle fois fait preuve de toutes ses qualités.
C’est au Théâtre des Arts de Rouen qu’aura lieu le prochain Grand Concert Radio Classique-Caisse d’Epargne, avec l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie et l’Orchestre Régional de Normandie, dirigés par le jeune chef britannique Ben Glassberg. La première œuvre au programme sera l’Ouverture du Vaisseau Fantôme de Wagner. Créé en 1843 sur un livret de Wagner lui-même, Le Vaisseau Fantôme est encore imprégné de l’opéra italien, mais il annonce déjà les futures œuvres du compositeur, ainsi que son ambition de réformer l’art lyrique. Le Vaisseau Fantôme raconte la légende d’un navire hollandais, dont le capitaine, qui a défié Dieu, a été condamné à voguer à jamais sur les océans. L’Ouverture présente les thèmes à venir de l’œuvre, et nous plonge dans cette atmosphère de bourrasque et de tempête déchainée. La seconde œuvre au programme est le Concerto pour violon de Korngold, qui a été créé en 1947, à Saint-Louis aux Etats-Unis par un grand violoniste du XXe siècle Jascha Heifetz. Dans son concerto Korngold, qui composait alors pour Hollywood, reprend quatre de ses musiques de film, dont celle d’Antony Adverse, sorti en 1936, et pour laquelle il avait obtenu un Oscar.
Le Concerto pour violon de Korngold sera interprété par la violoniste américaine Tai Murray. Le concert se terminera par le ballet Petrouchka de de Stravinsky, créé à Paris au Théâtre du Chatelet en 1911, puis révisé en 1947. Petrouchka est un personnage masculin du théâtre de marionnette traditionnel russe. Pour évoquer cette œuvre le mieux est de relire ce qu’en disait Stravinsky : « En composant cette musique, j’avais nettement la vision d’un pantin subitement déchaîné qui exaspère la patiente de l’orchestre, lequel lui réplique par des fanfares menaçantes.
Il s’ensuit une terrible bagarre qui se termine par l’affaissement douloureux et plaintif du pauvre pantin. » Ce concert sera présenté en direct par Jean-Michel Dhuez. Rendez-vous sur le site de Radio Classique le vendredi 19 novembre 2021 à 20h00 pour profiter du Grand Concert Radio Classique – Caisse d’Epargne diffusé en direct.
Les Grands Concerts Radio Classique Caisse d’Epargne est un programme riche et varié aux allures d’odyssée musicale, qui traverse les époques et explore les œuvres des plus grands compositeurs occidentaux, depuis l’époque classique (Mozart, Schubert, Strauss, Beethoven, Mahler), jusqu’à la musique moderne (Ravel, Prokofiev, Rachmaninov, Poulenc) en passant par le romantisme (Saint-Saëns, Berlioz, Dvořák, Brahms). Cette initiative contribue à la diffusion des musiques classiques auprès d’un large public grâce à la retransmission en direct des concerts sur les ondes de Radio Classique disponibles ensuite en replay sur le site de la radio. Pour chaque concert, la Caisse d’Epargne invite clients et partenaires à assister aux représentations dans un cadre privilégié. Grâce à son dispositif « Places de rêve » elle permet aussi à quelques invités de vivre une soirée d’exception à la découverte des coulisses, en immersion dans les préparatifs d’un grand concert, avec la rencontre du Chef d’Orchestre.
La Caisse d’Epargne s’appuie sur cette série de concerts pour mettre en place des actions porteuses de sens à destination des jeunes. Des invitations sont proposées à des associations mettant des instruments de musique à disposition de musiciens en herbe, ainsi qu’aux élèves des conservatoires environnants. Enfin, c’est aussi l’occasion pour la Caisse d’Epargne de donner la parole à ses clients et partenaire sur les ondes de Radio Classique afin de mettre en lumière les initiatives culturelles conjointes menées sur leurs territoires. Ce programme, débuté en décembre 2019, fait suite aux 15 représentations du Concert du Bicentenaire de la Caisse d’Epargne, une fresque musicale et historique imaginée avec l’Orchestre Symphonique de la Garde Républicaine, parcourant 200 ans de musique, depuis les œuvres romantiques du XIXe siècle jusqu’aux grands compositeurs des musiques de films contemporains. Entre 2018 et 2019 plus de 20 000 clients ont été conviés à y assiter. Avec ce nouveau chapitre, la Caisse d’Epargne entend poursuivre une initiative de soutien et de promotion des musiques classiques, initiée en 2014 avec Radio Classique.